Devenir une personne alliée peut fortement contribuer à l’inclusion en entreprise. Mais l’allyship ne vient pas sans difficulté.
Être allié·e au travail, ou comment booster l’inclusion en entreprise

De la recherche scientifique au management
Devenir une personne alliée peut fortement contribuer à l’inclusion en entreprise. Mais l’allyship ne vient pas sans difficulté.
Adopter une politique d’entreprise inclusive n’est pas suffisant. Quels sont les facteurs qui favorisent vraiment l’inclusion des personnes LGBTQI+ ?
Les formations de sensibilisation aux biais cognitifs sont populaires pour lutter contre la discrimination. Mais elles posent plusieurs problèmes et peuvent amener des effets négatifs.
Le travail joue un rôle important dans l’adaptation des personnes immigrées. L’entreprise a tout intérêt à ce que les choses se passent au mieux !
Le Multiculturalisme s’est imposé aux entreprises comme un idéal pour favoriser l’inclusion. Pourtant, il est rarement bien implémenté et pose plusieurs problèmes. Comment aller de l’avant ?
Pour manager la diversité dans les entreprises, deux approches ont été proposées : le multiculturalisme et le colorblind. Pourtant, il semble bien qu’aucune des deux ne soit vraiment satisfaisante.
La discrimination ronge la santé physique et mentale de ses victimes (et pas seulement elles). En plus de nuire à des principes éthiques, elle gangrène la performance des entreprises.
Le modèle de Hofstede est très populaire pour décrire les différences culturelles. Mais il est aussi très critiqué pour son idéologie ou sa méthodologie. Aujourd’hui, voyons les critiques idéologiques.
Le modèle de Hofstede est très populaire pour décrire les différences culturelles. Mais il est aussi très critiqué pour son idéologie ou sa méthodologie.
De nombreuses équipes de recherche se sont intéressées à comprendre et à quantifier les différences interculturelles. Voici quatre modèles parmi les plus emblématiques.
Prenons aussi le temps de reconnaitre leurs limites et de se demander quand les oublier.